SIDA : Le malade imaginaire

Bonjour,

A l'heure du numérique et des nouvelles technologies, quasiment tous le monde possède un ordinateur. Et le simple fait de lire ce texte implique que vous êtes entrain de vous en servir (j'exclue ceux qui font du web sur le téléphone car c'est nul sur un téléphone ;-)). Avec l'ordinateur, une nouvelle activité pour les gens malintentionnés est apparue : la création de virus et le piratage de votre PC. Il ne vous viendrait jamais à l'esprit de penser que le virus informatique se génère de lui même et qu'il infecte votre PC de manière spontané. Il parait évident que derrière chaque virus informatique se cache un informaticien. Le but étant souvent de créer le problème pour ensuite vous apporter la solution en vous proposant des antivirus et des mises à jour moyennant finances.

Je me pose donc la question. Si le virus informatique est crée par l'homme pour pouvoir générer des profits, est-ce possible que les maladies virales humaines comme le VIH soit le fait de l'homme afin de générer des profits ? Est-ce possible que derrière le virus, se cache un docteur ? Essayons d'éclaircir la question.

D'abord, il est important de préciser quelques notions et de rappeler certains faits historiques récents.

Le virus du SIDA ( Syndrome d'ImmunoDéficience Acquise ) n'existe pas. Le SIDA est un état du corps durant lequel le système immunitaire est défaillant. Autrement dit, votre corps ne sait plus se défendre et devient vulnérable à des infections opportunistes. On ne meurt pas du SIDA mais de la conséquence de cet état. Le malade peut mourir suite à une insuffisance respiratoire liée à des infections bactériologiques, insuffisances rénales entrainant des empoisonnements, arrêt cardiaque et même des suicides pour les plus pressés. Il faut aussi préciser une chose, un séropositif n'est pas malade. Un séropositif est simplement positif au test de sérologie du VIH. C'est à dire que la prise de sang a conclu à la présence d'anticorps anti-VIH. Ou encore que le système immunitaire à fait son boulot en détectant l'intrus. En gros, un séropositif est en bonne santé. La maladie n'est qu'hypothétique. Elle se déclenchera ou pas et le lien entre le SIDA et le VIH n'a été fait que durant les années 80 (voir plus bas dans l'article)

C'est à partir de ce moment que l'on a associé un porteur du VIH à la maladie du SIDA et que l'on a conclu séropositif = malade du SIDA ce qui est FAUX.

Mais alors, pourquoi parle t' on de virus du SIDA ? Pour comprendre, il faut remonter en 1981.

Une recrudescence de cas de pneumonies et de cancer dans la communauté homosexuelle américaine inquiète les scientifiques. Il est vite constaté que tous ces malades ont en commun un affaiblissement de leur défense immunitaire. On nomme d'ailleurs à l'époque le SIDA : "le cancer gay". Les soupçons se portent en premier sur le poppers utilisé par les gays à des fins récréatives. C'est logique puisque le poppers est cancérigène. Cependant, de nouveaux cas d'immuno dépression sont repérés chez les toxicomanes et eux ne prennent pas de poppers. Oui mais ils prennent des drogues qui eux aussi sont mutagènes. Viennent ensuite les hémophiles et les haïtiens (oui les haïtiens ont été identifiés parmi les premiers cas d'immuno dépression, avec la colonisation et le tremblement de terre récent, on peut dire qu'ils n'ont pas de chances). Avec tous ces différents cas, la communauté scientifique abandonne la piste du poppers et privilégie le virus comme agent infectieux responsable de l'immuno dépression. Dans la foulée, arrivent les premiers cas en France (je tiens à signaler que le virus a traversé l'atlantique sans toucher le Canada, le Mexique ni aucun pays. A croire qu'il voulait visiter Paris, enfoiré) La France se met donc à la recherche du coupable avec les U.S.A. D'un côté nous avons le professeur Luc Montagnier à l'Institut Pasteur et de l'autre Robert Gallo pour les U.S.A. Ils collaborent et s'échangent des informations mais très vite, les enjeux économiques trop importants s'en mêlent et les deux laboratoires cessent de collaborer pour devenir concurrents. Oui j'ai bien dit concurrents.

Le premier a dégainer est la France avec le 20 mai 1983 la publication dans le magazine Science d'un rétrovirus identifié chez un malade. Il est alors appelé Lymphadenopathy Associated Virus (LAV). À ce stade, le lien entre le LAV et le SIDA n'est pas clairement établi par l'équipe de Luc Montagnier. L'équipe de Robert Gallo publie le 4 mai 1984, dans Science, les résultats de l'isolement d'un virus qu'elle considère comme responsable du SIDA et le nomme HTLV-3^[8]. Une autre équipe celle de Jay A. Levy à San Francisco fait de même le 24 août 1984 et trouve plusieurs rétrovirus, qu'elle nomme AIDS-associated retroviruses (ARV)^[9]. C'est à ce moment que le lien est fait entre le virus et le SIDA. Les trois noms cohabitent pendant plusieurs années et génèrent des conflits entre la France et les U.S.A. On ne parle pas encore de VIH. C'est seulement en 1986 que les français renomment le LAV en VIH. On se dit alors que le tour est joué puisque le mal a été identifié. Et ben non. Le VIH ne serait pas un virus "normal" mais un rétrovirus. Cela signifie qu'il n'agit pas comme les virus en se multipliant à partir d'une cellule hôte, mais il copie son bagage génétique dans la cellule saine et engendre des mutations. Le problème est que si on l'élimine, on tue la cellule et donc l'organisme. D'autres agents fonctionnent sur le même principe, les agents mutagènes à l'origine des cancers. On en dénombre beaucoup (trop) dans notre environnement. Les gaz d'échappement, les cigarettes, les pesticides, les solvants, les conservateurs, les colorants plastiques, les teintures, la radioactivité, les drogues ....... La liste est trop longue et si je les énumère tous, vous allez arrêter de vivre, du moins dans votre confort actuel. En résumé, nous sommes confronté en permanence à des substances qui peuvent conduire à une mutation de nos cellules et provoquer l'affaiblissement de nos défenses immunitaires. Autrement dit, nous baignons dans du VIH. Dit comme ça c'est bizarre, mais c'est la stricte vérité. Ce n'est qu'une question de vocabulaire.

Question : si le SIDA est bien d'origine viral et qu'il a bien été identifié chez les trois équipes, pourquoi lui donner un nom différent et ne pas se mettre d'accord pour faire avancer les recherches ?

Car avec l'identification du problème arrive les premiers tests de dépistages et avec eux la redevance promise au dépositaire du brevet. Il est donc capitale de revendiquer la paternité du virus pour ces trois équipes. Et c'est seulement le 4 Décembre 1987 dans une rencontre entre Reagan et Chirac que les deux hommes décident de partager le gâteau. La paternité est partagé entre l'Institut Pasteur et le National Institutes of Health aux U.S.  


Mais ce n'est pas fini. Avec le VIH arrive aussi les premiers anti-rétroviraux ( les fameux anti-virus ). Ce ne sont pas des vaccins, ce ne sont que des ralentisseurs de la maladie. En gros, ça soulage mais ça ne soigne pas. Le plus fréquemment donner est l'AZT. La Zidovudine ou AZT a été la première substance approuvée dans le traitement du SIDA. Jerome Horwitz du Barbara Ann Karmanos Cancer Institute et du Wayne State University School of Medicine synthétisèrent les premières molécules d'AZT^[3],[4] en 1964, dans la cadre d'un projet fédéral américain du National Institutes of Health (NIH). L'AZT était au début prévue pour pouvoir traiter le cancer, mais n’a pas montré d’efficacité et présentait des effets secondaires inacceptablement importants. L'AZT fut commercialisé aux États-Unis en mars 1987 au prix de 10000 dollars par année de traitement. 

A ce niveau d'informations, les laboratoires et un homme en particulier le docteur Luc Montagnier ont clairement mis en cause le VIH comme source du SIDA

Si je vous dis maintenant que comme le rhume, le VIH se guérit tout seul et que pour combattre cet agent infectieux il faut simplement une bonne hygiène de vie et une bonne alimentation. Vous ne me croyez pas ? C'est normal, 26 ans de mensonges ce n'est pas évident. Mais si c'est l'escroc en personne qui se confesse, cela vous convient mieux? Et bien dans une interview visible dans le documentaire "House of Numbers", le docteur Luc Montagnier retourne littéralement sa veste et dénonce un complot américain pour réaliser des profits en Afrique.

Si vous voulez en savoir plus sur l'imposture, je vous conseille de vous procurer le film "House of Numbers"

Maintenant c'est à vous d'ouvrir votre esprit à l'impossible et de découvrir la vérité mais en attendant posez-vous la question. A qui à profiter la "découverte" du VIH ? Nous avons eu la mise sur le marché de tests de dépistage (brevetés) et d'anti-rétroviraux (brevetés).  Sans compter tous les dons pour la recherche et concert de solidarité, la psychose du 20è siècle, les préservatifs (avec l'échec du préservatif à 20 centimes d'euros car pas rentable) , la stigmatisation de l'Afrique comme source du mal (avec l'achat jusqu'à aujourd'hui d'anti-rétroviraux inefficaces et hors de prix, un empoisonnement tous simplement). Pour les sceptiques qui vont me dire, "ouais mais je l'ai vu en photo le VIH, il existe". Et ben non. La photo que l'on nous montre est un modèle de ce à quoi doit ressembler le VIH d'après son mode d'action. Autrement dit, c'est une imagination. . La seul observation qui a été faite est celle de cellules infectés. Le VIH n'est que pure spéculation. Et pour les plus sceptiques, rappelez-vous simplement l'épisode de la grippe A et la campagne de vaccination obligatoire.

Une dernière chose concernant Robert Gallo, le docteur américain. En 2005, il fonde Profectus BioSciences, Inc, qui développe et commercialise (commerce de la santé) des technologies pour réduire la morbidité et la mortalité par maladies virales chez l'homme, y compris par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH).<sup>[1]
Visiter le site officiel pour voir tous les dons que cette société reçoit.

Pour l'anecdote, Profectus en latin signifie progrès mais aussi profit. Je vous laisse deviner lequel est le bon vu qu'il n'y a eu aucun progrès depuis 26 ans.

Il ne nous reste plus qu'à bien manger et boire du Actimel pour renforcer nos défenses immunitaires. Non je déconne, faites sauter les strings youhouuuuh !</sup>

Et n'oubliez pas, les bonnes questions amènent les bonnes réponses. Alors, questionnez vous !

Coupable, ben non finalement ......